Restaurant La Marquière
Une histoire familiale qui a bientôt 38 ans !
Créer en 1985 par Bernard Marius et son épouse Michèle Gaillagot le restaurant a rencontré beaucoup de fins gourmets du monde entier. A l’angle d’une de ces jolies ruelles aux airs de petit village que sait nous offrir la Cité Médiévale de Carcassonne, le cœur d’une belle maison à la façade discrète bat au rythme du goût et de l’élégance. C’est ici que Bernard Marius célèbre, depuis près de trente-huit ans maintenant, les beaux produits et les saveurs d’ici dans une cuisine subtile et inventive tout autant que sincère.
VertdeVin : Quel plat de votre restaurant est incontournable et devrait être gouté par chaque client ?
Florent Marius, Maitre d’Hotel & Sommelier : Les Ravioles de foie gras aux coulis de cèpes et escalope de foie gras poêlée. C’est un plat créé il y a environ 30 ans pour un repas de Noël et qui est, aujourd’hui encore, impossible d’envisager de le retirer de la carte, ce plat ayant tellement fait parlé de lui.
VertdeVin : Quel vin recommandez-vous pour accompagner ce plat ?
Florent Marius : Domaine de La Soujeole, AOP La Malepère, un jolie assemblage de Cabernet Franc, Merlot, Malbec.
VertdeVin : Quels sont les vins, en dehors des pépites locales, les plus appréciés par vos clients ?
Florent Marius : Nous avons une clientèle internationale, qui a pour repère les domaines qui exportent beaucoup ou qui ont en référence certaines régions ou appellations. Je dirais que les Sancerres, Chablis, Châteauneuf-du-Pape sont les plus demandés.
VertdeVin : L’accord mets et vins le plus inattendu que vous ait jamais servie ?
Florent Marius : Un accord intéressant et surprenant pour accompagner le foie gras mi-cuit que mon père prépare, et qui pourrait, lui aussi, être dans les plats incontournables de la maison… Pour sortir des grands classique j’ai souhaité un whisky. Et trouver l’alliance et l’équilibre parfait entre le foie, les épices et la force du whisky, n’était pas une chose gagnée d’avance. Grâce au conseil de la Maison Cabanel, un liquoriste local, qui m’a recommandé le Ed Gwenn un whisky breton à base d’orge uniquement de la distillerie des Menhirs, nous avons trouvé là un subtil et délicat accord.