Les objectifs du Consortio Valdobbiadene

Les objectifs du Consortio Valdobbiadene

Le président Franco Adami indique sa vision de l’avenir

Franco Adami, en tant que président de l’un des Consorzios italiens les plus dynamiques pour la prochaine période de trois ans (2024-2026), a une vision appropriée de la région, aidée par le fait qu’il est le propriétaire de la cave Adami, un producteur familial de la région, avec des racines profondes dans la région et une base solide dans le commerce du vin à la fois italien et international.

Les idées de Franco Adami

Quelques heures à peine après son élection, il a déclaré : « Tout d’abord, je voudrais remercier Elvira Bortolomiol pour tout le travail accompli: avant tout, je voudrais remercier Elvira Bortolomiol pour tout le travail qu’elle a accompli. Je suis fier de lui succéder, mais j’éprouve également un sentiment de responsabilité, car je suis conscient de l’importance de donner tout leur poids aux résultats que nous avons obtenus jusqu’à présent. La tâche qui nous attend sera difficile, mais je suis convaincu qu’en commençant par définir une vision commune de notre identité (« Who We Are ») et des aspects que nous partageons avec le reste du monde du Prosecco, nous pourrons promouvoir avec succès nos valeurs immatérielles et les faire émerger de manière décisive. Notre premier pas concret sera de modifier les règles de production, car un seul rendement autorisé – un seul terroir et une seule dénomination – est possible et utile si nous voulons promouvoir notre zone de manière compacte. Naturellement, nous devons aussi poursuivre le chemin parcouru jusqu’à présent vers une dénomination toujours plus durable : malgré les grands progrès réalisés ces dernières années, notre impact sur l’environnement doit, dans la mesure du possible, être progressivement réduit. Enfin, nous devrons nous concentrer sur la conservation des Rive, des sites qui nous caractérisent et qui font partie de notre identité ».

La conservation de la Rive

Franco Adami pense qu’il sera important d’entreprendre un double processus capable d’ajouter une valeur au produit – par exemple en créant des cuvées qui peuvent indiquer sur l’étiquette les différents lieux d’origine – et, d’autre part, de travailler sur la structure du paysage, en particulier du point de vue de la conservation. Les rivières dépendent d’un équilibre délicat. Leur beauté et les fruits qu’elles produisent doivent être préservés, en particulier des glissements de terrain qui les menacent constamment, étant donné que les précipitations tendent aujourd’hui à être plus tropicales que méditerranéennes. Les viticulteurs sont les sentinelles et les acteurs de nos coteaux, mais il faut leur donner les moyens d’agir plus facilement, tout en respectant la réglementation en vigueur. Dans ce sens, le Consortium travaillera avec les autorités locales pour trouver des solutions qui permettent aux rivières de continuer à être des lieux de production et de beauté.

 

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